Danielle GABOU - La Compagnie sans sommeil - Danse

Danielle GABOU et La Compagnie Sans-Sommeil

La création de l’Association « Sans sommeil » est à l’origine, une initiative de Danielle GABOU et de Caroline TRICOTELLE. Cette Association loi 1901 a été créée le 19 octobre 2001. Son objet est la création de spectacles engagés, mêlant théâtre, danse, musique, littérature…

Sa première production en juin 2002 « EXIL », une adaptation des textes de Marina TSVETAIEVA a ancré la compagnie au sein des créateurs de danse et de théâtre. Elle a permis d’être soutenu pour son fonctionnement dès 2002 par la Ville de Nancy et en 2003 par la DRAC Lorraine ainsi que par le Centre Culturel André MALRAUX, scène nationale de VANDOEUVRE .La direction artistique est assurée par Danielle GABOU, la Présidence par Thierry France-Lanord.

Spectacles

Moi, Tituba sorcière...Noire de Salem - Hommage à Maryse Condé
Lecture Danielle GABOU / Piano Lise DIOU-HIRTZ
Entretien sur TV5MONDE, le 21 mai 2018 ->voir la vidéo

Le Racisme expliqué aux enfants
Semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme, une cause qui nous tient particulièrement à coeur comme celle de la lutte contre toutes les formes de discrimination. À cette occasion nous partageons avec vous la video réalisée par Régis Caël, sur le Spectacle théâtral et musical intitulé « Le Racisme expliqué aux enfants » présenté à l'UNESCO, grâce au soutien de nombreux partenaires engagés. Ce spectacle a reçu le LABEL UNESCO dans le programme "La route des personnes mis en esclavage".
Son objectif est de faire connaître une initiative artistique au service d’une cause : éveiller les consciences des jeunes futurs citoyens à la lutte contre le racisme.
Adapté du livre de Tahar BEN JELLOUN « Le racisme expliqué à ma fille », Danielle Gabou a mis en scène une pièce théâtrale et musicale qui s’adresse à tous les publics dans le but de sensibiliser aux questions de racisme et à l’importance de l’éducation, notamment des jeunes générations, pour réussir le vivre ensemble dans la fraternité.
Belle découverte !

Transe

Danielle Gabou présente Transe, une pièce qui comme toutes celles de son répertoire ne laisse jamais indifférent. La beauté et la puissance de la chorégraphe sont mises au service d’une passion inassouvie de dire et de mettre au jour par le corps, l’espace et l’image, des questionnements profonds sur l’identité, la culture et le statut de la femme.
Tout commence par une rencontre. Celle entre Danielle Gabou, chorégraphe et danseuse, et Julien Ficely, interprète puis chorégraphe pour le Ballet de Lorraine – pour lequel il a notamment créé en 2010 le quatuor Ô.
Née à Paris de parents ivoiriens, Danielle Gabou se passionne pour l’œuvre du cinéaste et ethnologue Jean Rouch, auteur de précieux documentaires sur le continent africain dont le film Mammy Water, tourné en 1956 au Ghana.
Consacré à la divinité de la mer, ce reportage met en scène une communauté de pêcheurs confrontée à une pénurie de poissons. Selon la croyance locale, celle-ci ne peut être due qu’à la colère des esprits et de la déesse, d’autant que l’événement coïncide avec la mort d’une prêtresse. Les rites et sacrifices accomplis en l’honneur de celle qui incarne une féminité à la fois bénéfique et menaçante entrent en résonance avec la propre quête identitaire de Danielle Gabou, femme entre deux cultures.
Conçu à partir de ces regards croisés, son solo Transe associe les images du film de Jean Rouch et la chorégraphie imaginée pour elle par Julien Ficely. Une expérience totale qui place l’éternel féminin au cœur de la création et part du singulier pour retrouver l’universel. (Isabelle Calabre)
Source: Paris Art -> lire l'article

Comédienne

Opéra national de Paris - Production Hamlet
Mise en scène- Krzysztof Warlikowski
Opéra Bastille du 8 mars au 9 avril 2023.

Interventions scolaires

Connue pour ses talents de comédienne et de danseuse, qui lui ont permis d’évoquer des questionnements qui lui sont chers concernant la société d’aujourd’hui - comme l’identité, la culture et le statut de la femme – Danielle Gabou s’est tout récemment essayé à la lecture théâtralisée en présentant l’œuvre de Maryse Condé : Moi, Tituba sorcière… Noire de Salem, lors du Festival Littéraires « Des Îles et des livres » à Reims. Cette lecture lui permet notamment d’aborder la thématique de l’esclavage, qu’elle prolonge par des ateliers d’écriture avec des scolaires.
Source : La Flamme de l'égalité, voir la page